Se sont rencontrés en juillet 2011
Tout commence le lundi 11 juillet 2011 à 19h30 : je suis assise sur le rebord de la fontaine sur la place Dupuy. Il arrive, je le reconnais, je le connais. Vous savez ? La pensée, une sorte d’évidence : « C’est lui ».
Nous marchons un peu, les jambes en coton jusqu’à une terrasse de café (« il fait beau ce soir ! »). J’aime son allure, sa stature, ses mains (j’adore ses avant-bras ! Oui…), sa bouche, ses yeux surtout. J’aime encore davantage les restes de sa timidité, sa voix, sa façon d’être homme, fort et sensible à la fois, vrai, sa gentillesse, son intelligence par rapport aux gens et à la vie.
Il me prend la main et nous marchons dans la rue. Il me serre dans ses bras. On s’embrasse. Tout est si naturel. Il veut me revoir le lendemain soir. J’aime son audace et son assurance
Je le trouve, je me trouve, dans son regard et dans ses mots. Il a envie de vivre une histoire, de s’impliquer, de partager, lui aussi (« enfin ! »).
Il me prend la main et nous marchons dans la rue. Il me serre dans ses bras. On s’embrasse. Tout est si naturel. Il veut me revoir le lendemain soir. J’aime son audace et son assurance.
Nous nous sommes revus le lendemain, le surlendemain et dès que nos emplois du temps nous le permettaient. Il a rencontré ma fille, j’ai rencontré ses enfants. Tout se passe très bien.
Depuis quelques jours je n’ai plus besoin de me pincer pour savoir si ce qui s’est passé et se passe est bien réel (je n’exagère pas). Cet amour naissant est déjà très fort. J’ai l’image du puzzle en tête. Je me sens meilleure, plus forte et plus libre.
J’ai souhaité aux gens que j’aime et qui n’ont pas l’amour pour les porter, de vivre une histoire de la même intensité que la nôtre.
C’est aux personnes inscrites sur eDarling que je le souhaite aujourd’hui.